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Bernard, Bernard, Bernard ... tu n'es pas raisonnable ! Comme chaque octobre que l'Autre fait, je vais acheter ton nouvel opus. Et comme chaque octobre, je vais être très déçu. C'est quand même moi-même (le Diable ndlr) ! Dans les 666 romans que tu as publiés, pas une ligne sur moi ! Tu tartines des pages sur les hautes sphères et tu oublies l'essentiel mon Bernard, le grand contradicteur. Franchement (ce terme me vient rarement, profitez en), ça me fait mal aux cornes ! Bon, quand tu en étais encore aux insectes, je pouvais comprendre que mes interventions n'étaient pas indispensables à tes intrigues. Par contre depuis plusieurs pavés, je n'en peux plus de tes micros dieux. Je vais finir par me vexer et c'est toujours très mauvais. Je risque des brûlures d'estomac.
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