Hello mes loulous, vous me pardonnerez et cette familiarité excessive et mes promesses non tenues pour les épisodes du Diable en vacances (depuis quand le Diable tient-il ses promesses ?). Nous voici revenus dans un soleil parisien un peu tapiole par rapport à son cousin grec mais bon, l'azote et le CO2 de Paris ont le charme du Heimat que n'ont pas ceux d'Athènes. En guise d'excuse, un cliché plus personnel que d'habitude... à vous de deviner qui est qui mais profitez en car ça n'arrivera pas souvent dans les chroniques. J'ai le plaisir de vous dire que mes pronostics d'une douzaine d'heures pour rejoindre Naoussa à Paros étaient très petit bras ... nous avons battu notre record avec 36 heures de voyage soit environ le temps de faire deux allers-retours aux Antilles ! Les ferries pour les îles ont fait l'objet d'une OPA par les athéniens en notre vendredi d'arrivée, leur lundi étant férié pour d'obscures raisons orthodoxes sans doute. Nous avons donc dû flâner dans Plaka avant de dormir au Fresh Hotel au design fluo-minimaliste vu sur Paris Première. Pour le prix de deux Ibis à Paris (enfin, j'imagine, je ne descends pas dans les Ibis sauf pour les mariages à Cannes, je vous raconterai), la suite de l'hôtel vaut vraiment le coup pour les fans de Cendrine Dominguez. Nous passerons le samedi matin à la piscine sur le toît en attendant le ferry pour Paros.
C'est donc sans hystérie que nous gérons cet épisode 1 du Diable en vacances. J'ai fait preuve d'un calme olympien, moi qui déteste que mes plans soient modifiés à l'improviste. Bon, les vacances sont une cause qui mérite d'éviter de se prendre les cornes pour rien. La suite à l'épisode 2 (ha oui, ravi de vous revoir).