Oui, petits mortels, je suis là et bien là. Il m'a fallu une quinzaine de vos jours pour me remettre de mon week-end prolongé à Lisboa. Mon diablotin et moi y avons coulé quelques jours radieux. Une vraie découverte et un petit clin d'oeil à George et Dennis, nos petits démons pour ce séjour aux anges. Lisbonne, ce sont d'abord ces façades douces et colorées qui vous accueillent à chaque regard. C'est la lumière caline qui fait rosir le marbre blanc des trottoirs au petit matin. Ce sont les garçons bruns et souriants qui ensoleillent les nuits du Barrio Alto. C'est ce dimanche à la Praia, inoubliable. Lisboa, tu m'as plu et je retrouverai tes délices sans tarder. Le Diable est un animal urbain, les délices de Lisbonne font échos aux ébats de Barcelone, aux démons de Montréal ou aux bears de Berlin. Toutes ces villes qui rythment nos rencontres, tous ces départs de Paris, ce pari de partir.
Ainsi, je te retrouve encore, Paris, ville diablesse, que j'aime et je déteste. Te revoilà, revêche et généreuse, comme lorsque je te découvris la première fois, t'en souviens tu ? Tu finis toujours par me manquer, pour celà je t'en veux mortellement. Dévorante et cruelle, tu ne doutes jamais de mon retour... de mon trépas à Paris.
4 commentaires:
Anonyme
a dit…
Ah kamème ! Ben j'ai cru qu'on s'en remettrait jamais ! Bon, d'accord, Lisboa, Lisboa... m'enfin, nous on était là, à poireauter !
C'est après mes 20 ans que j'ai compris qui j'étais. Le choc est rude, surtout pour mes pauvres parents...mais voilà je suis celui dont on ne prononce pas le nom impunément...je suis le Diable.
4 commentaires:
Ah kamème ! Ben j'ai cru qu'on s'en remettrait jamais !
Bon, d'accord, Lisboa, Lisboa... m'enfin, nous on était là, à poireauter !
Même sans nom, le manque est flatteur :-)
Youpi tu es revenu !
quel enthousiasme Johnny boy :-)
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